Les dictionnaires électroniques, notamment le Wikipédia, ont aidé à retrouver les origines historiques de mon adresse à Bruxelles. Depuis 1999 jusqu’au mois de juillet 2004, j’ai vécu au quatrième étage du numéro 66 de l’avenue Émile Duray, de l’autre coté du jardin de l’Abbaye de la Cambre. C'etait un temps de bonheur et de mystère, mais le temps change à la fin de chaque jour et les jours passent vite. L’espoir du retour reste toujours vivant dans mon esprit. *
L’avenue Émile Duray se situe à Ixelles, à la ville de Bruxelles.
Elle fut tracée en vue de l’Exposition Universelle de Bruxelles en 1910 qui se tint à la plaine du Solbosch entre l’avenue des Nations, actuelle avenue Franklin Roosevelt, et l’avenue Adolphe Buyl. Elle fut dans un premier temps appelée avenue Courbe en 1909 par allusion à son tracé, ensuite avenue de la Patrie et enfin avenue Émile Duray. Les autorités communales avaient par cette dénomination, choisi d’honorer un mandataire public ixellois : conseiller communal, échevin en 1900 et bourgmestre de 1904 à sa mort en 1918, il fut aussi président du Conseil provincial.
Elle fut tracée en vue de l’Exposition Universelle de Bruxelles en 1910 qui se tint à la plaine du Solbosch entre l’avenue des Nations, actuelle avenue Franklin Roosevelt, et l’avenue Adolphe Buyl. Elle fut dans un premier temps appelée avenue Courbe en 1909 par allusion à son tracé, ensuite avenue de la Patrie et enfin avenue Émile Duray. Les autorités communales avaient par cette dénomination, choisi d’honorer un mandataire public ixellois : conseiller communal, échevin en 1900 et bourgmestre de 1904 à sa mort en 1918, il fut aussi président du Conseil provincial.
Le principal ornement de cette avenue est l’immeuble construit par Camille Damman en 1922-1923, au n° 62 - 68 de cette avenue et 4 de l’avenue de Folle Chanson.
Connu avant-guerre sous le nom de Palais de la Cambre, cet immeuble présente un bon équilibre en soucis décoratif et rigueur architecturale. En effet, à la hauteur du quatrième étage, l’édifice s’adorne de figures allégoriques, le Commerce et l’Industrie, dues au ciseau de Jacques Masin. Chacune des entrées principales est rehaussée d’un tympan sculpté.
*À propos de Bruxelles, voir aussi un post du 21 octobre et un autre du 1er décembre 2007 (en portugais).
Du soleil et de la neige au Palais de Cambre.
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